L’importance d’une bonne alimentation lors d’un traitement anticancéreux

Le Dr. Otto Warburg a remporté le prix Nobel de physiologie en 1931 pour avoir découvert que les cellules cancéreuses ont un métabolisme énergétique fondamentalement différent par rapport aux cellules saines.

D’après ce dernier, afin d’optimiser la fonction mitochondriale, il est préférable de chercher à proposer:

- 75 à 85% de vos calories totales en gras sains.

- 8 à 15% en tant que glucides, avec deux fois plus de glucides fibreux que de glucides non fibreux.

- 7 à 10% de vos calories en tant que protéines (viandes animales de haute qualité).

Les graisses :

Les graisses saines représentent environ 75 à 85% de vos calories quotidiennes. La clé ici est la santé des graisses car la grande majorité de ces dernières que les gens mangent sont malsaines.

Évitez tout huile transformée et en bouteille, à l'exception des huiles d'olive certifiées par des tiers, car 80% sont imprégnés d'huiles végétales.

Les glucides :

Vous devriez consommer deux fois plus de glucides riches en fibres que les glucides non fibreux. Si vos glucides totaux représentent donc 10% de vos calories quotidiennes, au moins la moitié d’’entre eux devrait être des glucides riches en fibres.

Les protéines :

Un apport en protéines idéal est d'environ ½ gramme de protéines par livre de masse corporelle. Pour la plupart des gens, cela équivaut à environ 40 à 60 grammes par jour, mais de nombreux Américains consomment généralement trois à cinq fois ce montant, ce qui peut augmenter votre risque de cancer.